Le 18, 19 et 20 juillet 2024, le consortium watoto inje ya mungoti a, sous le lead de l’Observatoire Congolais de l’Environnement (OCE Asbl) a respectivement organisé à Likasi, Fungurume et Kolwezi, des ateliers de lancement de projet Local Content et dialogue social ETD et OSC et Entreprises et constitution du cadre de pool, sous le financement de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) à travers son projet LAB 8.7

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Lors d’une réunion tenue ce vendredi 21 juin à son siège, l’Observatoire Congolais de l’Environnement (OCE) a annoncé une nouvelle initiative visant à promouvoir les entreprises minières du Haut-Katanga et du Lualaba. Intitulée « Promotion de la diligence environnementale et des bonnes pratiques RSE des entreprises minières dans les provinces du Haut-Katanga et Lualaba », cette initiative est soutenue par des scientifiques et bénéficie de l’appui financier et technique de la coopération allemande GIZ à travers son projet DISM.

Selon Martin MPINDA, secrétaire général de l’OCE et présentateur du projet, l’objectif principal est d’inciter les entreprises minières à placer la protection de l’environnement au cœur de leurs activités, en mettant en avant les bonnes pratiques de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). « Souvent, les organisations de la société civile se concentrent uniquement sur les mauvaises pratiques des entreprises minières. Cependant, ces entreprises ont également des bonnes pratiques qui méritent d’être encouragées », a-t-il souligné.

Le projet, lancé en 2023, vise à encourager les bonnes pratiques en récompensant les entreprises minières se distinguant par leurs efforts environnementaux. Il met l’accent sur la promotion et la diffusion des études d’impact environnemental et social (EIES), des plans de gestion environnementale et sociale (PGES), ainsi que des plans d’aménagement et de réhabilitation des sites miniers. De plus, il sensibilise les communautés locales à ces pratiques et incite les entreprises minières à intensifier leurs efforts en matière de protection de l’environnement, notamment en publiant leurs méthodes de lutte contre les différentes formes de pollution.

En outre, le projet aide les entreprises à adopter des pratiques respectueuses de la diligence environnementale, en assurant une large diffusion de ces bonnes pratiques au profit des communautés locales. Pour récompenser les efforts des entreprises, des brevets de mérite écologique seront décernés, tels que le prix de développement durable et le prix vert pour la lutte contre le changement climatique.

Des séances de présentation du projet seront organisées avec les organisations de la société civile, les chercheurs d’universités et les services étatiques. Un jury provincial indépendant sera mis en place dans le Haut-Katanga et au Lualaba pour évaluer et récompenser les entreprises minières qui se distinguent par leurs bonnes pratiques environnementales.

En conclusion, cette initiative de l’OCE représente une avancée significative vers la promotion de pratiques minières responsables et durables, en encourageant les entreprises à intégrer la protection de l’environnement dans leurs opérations quotidiennes.

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L’Observatoire Congolais de l’Environnement(OCE) a organisé lundi 03 juin à son siège une réunion de mise en oeuvre du projet Local Content sous financement de l’OIT avec les représentants des ONGs SADRI, IDD et POM.

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L’Observatoire Congolais de l’Environnement, OCE a participé ce jeudi 13 juin 2024 à la Conférence des partenaires internationaux, entreprises et société civile en RDC sous le thème : Transition énergétique Mondiale via des chaînes de valeur responsables en RD. Congo.

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C’est avec plaisir que l’OCE a du 10 au 11 juin, pris part à la table ronde stratégique organisée par le CarterCenter avec les acteurs clés du secteur minier et les autorités environnementales, pour le projet Justice climatique et environnementale en RDC à Novotel.

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Le Secrétaire Général de l’OCE, M. Martin Mpinda, et Madame Bukola, Officier Économique de l’Ambassade des États-Unis, se sont réunis pour évaluer l’impact des activités RSE de l’OCE et la mise en œuvre des cahiers des charges par les entreprises minières.

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Ce 16 mai 2024 une Réunion multipartite OCE, UNILU, OIT, USDOL et l’Amabssade des Etas Unis a été organisée sur l’évaluation des impacts du colloque sur LTEM dans les Mines en RDC et réflexion sur les perspectives de collaboration avec les parties prenantes.

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Dans le souci de consolider la lutte contre le travail des enfants dans les mines (LTEM) dans la province du Lualaba, l’Observatoire Congolais de l’Environnement, « OCE en sigle », a organisé le mardi 26 mars 2024, à l’Université de Kolwezi (UNIKOL), un colloque pour réfléchir sur la problématique du TEM et promouvoir l’Observatoire indépendant (centre de documentation), y relatif en milieu universitaire et écoles sous l’appui de l’Organisation Internationale du Travail.


L’amphithéâtre Kabila-Tshisekedi de l’UNIKOL a servi de cadre pour ce colloque qui a connu la participation de plusieurs acteurs intervenant dans la LTEM notamment, scientifiques, autorités politico-administratives, étudiants, … au tour des enjeux de travail des enfants dans les mines.


Plusieurs orateurs ont défilé à l’estrade de la salle pour aborder cette question. Pour Nicky KASUKUTI, membre de l’organisation Save of Children, les enfants ne sont pas censés travailler dans les mines vu leur âge et qu’ils seraient les plus visibles dans les sites à grand risque. « Dans ce monde perturbé par des bavures, des contradictions, d’abus en ce qui concerne le travail des enfants, ce colloque est une nécessite pour que la jeunesse prenne conscience de ces abus qu’il y a. Que les jeunes soient acteurs, participant. Les enfants ne sont pas censés de travailler. La loi le dit et c’est la logique des choses », a-t-elle déclaré.


Les enfants sont beaucoup exposés quand ils travaillent dans les sites miniers quel que soit l’artisanal. Laurent Kidinda, un des orateurs et docteur en environnement a tenté de proposer des solutions pour palier au travail des enfants dans les mines. « Il faut tout d’abord renforcer la mise en pratique du cadre légal, accompagner les familles qui laissent les enfants aller travailler dans les mines parce que c’est souvent dû aux conditions socioéconomiques précaires de ces familles que les enfants sont obligés d’aller dans les mines pour contribuer à la satisfaction des ménages. Aussi, il faut essayer d’accompagner ces enfants c’est-à-dire lorsqu’on met des conditions idéales ou leur apprendre certains métiers qu’ils peuvent exercer dans le futur, cela peut limiter leurs besoins de se rechercher dans les mines » a-t-il dit.
Pour combattre le travail des enfants dans les chaines d’approvisionnement de Cobalt en RDC, l’Observatoire Congolais de l’Environnement poursuit à mettre dans sa bibliothèque numérique des résolutions liées aux problèmes environnementaux pour le bien des communautés universitaire et écolière. Il est à noter que le second colloque se tiendra le 19 avril 2024 à Lubumbashi.



Rédaction

Observatoire Congolais de l’Environnement

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L’entreprise minière chemicals of Africa S.A (chemaf) a au cours d’une cérémonie solennelle procédé à la signature d’un cahier des charges de responsabilité sociétale définissant la responsabilité de l’entreprise minière vis-à-vis des communautés locales impactées de la commune Manika et du secteur Luilu à kolwezi chef-lieu de la province du Lualaba en RDC.

En effet, cette signature protocole d’accord couronne les efforts de la collaboration entre L’Observatoire Congolais de l’Environnement (OCE) et Camir depuis bien longtemps dans la capitale mondiale du cobalt.

Dans son allocution, Gilbert KAFITA, directeur de Développement Durable des Affaires, a rappelé l’importance de ce cahier de charge au profil des communautés environnantes.

« Le cahier des charges a pour objet d’orienter et d’organiser la mise en œuvre des engagements des titulaires de droits miniers d’exploitation ou de l’autorisation d’exploitation de carrière permanente relatifs à la réalisation des infrastructures socio-économiques et services sociaux au profit des communautés locales affectées par ses activités minières« , a-t-il déclaré

Pour sa part, Martin Mpinda, secrétaire général de l’Observatoire Congolais de l’Environnement et accompagnateur du projet dit que le processus doit tenir compte de toutes les communautés impactées dans la démarche qui a donné naissance à au présent protocole d’accord.

Par ailleurs, plusieurs aspects socioéconomiques ont été abordé dans ce cahier des charges au bénéfice des communautés impactées par le projet Muthoshi, c’est entre autres l’amélioration de la desserte en eau potable, la construction et équipement des écoles, hôpitaux et bien d’autres.

« La première grande activité, c’est la détermination de l’espace géographique qui va consister à déterminer les limites des zones d’impact de l’entreprise Chemaf dans le cas précis et voir si toutes les communautés qui sont impactées ont été pris en compte. Pour cela, on recours à l’étude d’impact environnemental et social qui durant son processus avait ténu compte de toutes ces communautés » a-t-il confirmé

La signature proprement dite du cahier des charges a connu la participation des représentants des communautés impactées, du directeur de Chemaf, du bourgmestre de la commune de Manika ainsi que le chef du secteur de Luilu. La bonne humeur a marqué cette cérémonie dont l’OCE se félicite de sa concrétisation au profit des congolais du Lualaba.

Jeancy Mulopwe

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L’an deux mile vingt-rois, le vingt-cinquième jour du mois de jullet, s’est tenue, dans la salle Casa Nospa , une réunion populaire, dans le cadre du processus des négociations du cahier des chages de l’entreprise KICO SA, sOus la facilitation de l’Observatoire Congolaise de l’Environnement (en sigle, 0CE).
Etaient réunis les délégués de l’entreprise KICO SA, les représentants des communautés locales dela commune de Kipushi au sein du CLD, ainsi que les facilitateurs (0CE) du processus des négociations dudit cahier des charges de responsabilité sociétale, sous la supervision du représentant de S.E Ministre Provincial des Mines du Haut-Katanga.
Après ouverture de la réunion, et le mot d’accueil prononça par le facilitateur, l’ordre du jour a été adopté à l’unanimité par les parties prenantes à savoir, la lecture et négociation des projets communautaires budgétisés et de trouver un accord sur le budget global.
Présentant la parole, au nom de l’entreprise, Monsieur Nsanga Captiva a rapporté qu’après une longue concertation en interne et tenant compte des réalités de l’entreprise KICO SA, le montant alloué pour l’ensemble des projets était des 2 500 000 USD (dollars américains deux milions cing cent mile) pour chacune des deux communautés, à savoir la Chefferie Kaponda et la Commune de Kipushi. Ainsi, il a été demandé aux représentants de la commune de Kipushi de se réunir en apartheid pour décider sur la priorisation des projets.
A l’issu de la concertation et discussion populaire, les communautés, dont la liste de présence est en annexe, ont accepté à l’unanimité la proposition de l’entreprise. Ainsi, après débat et délibération, les projets en annexe ont été adoptés, donnant un budget global de 2 000 000 USD (en lettre, dollars américains deux millions cinq cent milles).
Remerciant les communautés, les représentants de l’entreprise minière KIC0 SA ont confirmé leur engagement dans la mise en oeuvre des différents projets dans le respect du calendrier établi.
En conclusion, cette réunion de négociation entre les représentants des communautés de la commune de Kipushi et les représentants de I ‘entreprise KICO SA a abouti à u accord selon lequel l’entreprise
minière exécutera un Cahier des Charge d’un budget de 2 500 000 USD pour une période de 5 ans (soit de 2023 à 2027).
Commencée à 09H30, la réunion populaire s’est terminée à 13HOO ».

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